« La première était rouge. Scintillante comme un bonbon. Au mur, elles font une guirlande. L’éclairée, on l’accroche à l’arbre de fin d’année. On nous l’a souvent dit quand la chaleur monte au dedans. Mon grand-père, lui, nous accompagnait dans la colline pour le trouver, cet arbre. Là, partout, le plastique vert et rouge règne comme du sucre. Effacement de la mythologie. La chute est devant moi. “Me raccrocher aux branches” me dit-elle. »